L'évêque ouvrit les portes de la cathédrale à 7h00. Une foule de gens entra sans dire mot et dans un calme solennel.
L'évêque prit la parole.
Mes amis nous voila reunis aujourd'hui pour célébrer ce triste évnements.
Le jour ou notre cher duc nous a quitté. Laissant l'Anjou seule est orpheline. Lui qui c'est battue pour notre gloire paix et grandeur. A tout moment la vie peut être cruel avec les meilleur. Mais si Onyx est partie si tôt c'estn que le seigneur la rappeler à ses cotées plus vite. Car il a su voir en lui un homme d'amour et de paix.
Je vous demande à tous de lever et écouter la quantique de notre coeur d'enfants.
Je te salue, Marie,
Je te salue Marie,
mère de tous nos désirs heureux.
Tu es la terre qui a dit oui à la vie.
Je te salue Marie,
mère de toutes nos recherches de ce Dieu imprévu. Du temple où tu le perds, au Calvaire où il est crucifié, sa route te semble folle.
Tu es chacun de nous qui cherche Jésus, sans bien comprendre sa vie et ses paroles.
Tu es la mère des obscurités, de la foi, toi qui conserves tous les événements dans ton coeur, creuses et médites tous nos « pourquoi? » et qui fais confiance en l’avenir de Dieu, ton Seigneur.
Je te salue Marie,
mère de toutes les souffrances.
Tu es la femme debout au pied de l’homme crucifié,
tu es la mère de tous ceux qui pleurent l’innocence massacrée et le prisonnier torturé.
Je te salue Marie,
mère de Jésus et du disciple qui a cru.
Tu es la mère des hommes et de l’Église,
tu es au carrefour de l’histoire du salut que Dieu invente depuis Abraham et Moïse.
Je te salue Marie,
mère de toute nos pentecôtes.
Tu es, avec les apôtres, l’Église qui prie et accueille les dons du Saint-Esprit.
Je te salue Marie,
mère de toutes nos espérances.
Tu es l’étoile radieuse d’un peuple en marche vers Dieu.
Tu es l’annonce de l’humanité transfigurée,
tu es la réussite de la création que Dieu a faite pour son éternité.
Maintenant viens le tour de parole de Briconnet.
Je lui laisse la tribune et me retire un instant.